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A partir des soli grands plateaux de JARDIN, Nadine Beaulieu crée des formes courtes portatives

qui remettent en jeu le rapport danseur.se.s / spectateur.trice.s 

L'ORACLE
Pour et avec Lydia Boukhirane - interprète
Chorégraphe : Nadine Beaulieu

Lumière : Eric Guilbaud 

Musique : Sébastien Berteau

Costume : Sandrine Baudoin

L’ORACLE  est un impromptu issu de VOLTE-FACES ou le Cabinet des Humeurs

1’30 seul(e) à seule ou en tout petits groupes, avec l’interprète de VOLTE-FACES ou le Cabinet des Humeurs.

Posez une question et recevez une réponse dansée. 

Comme un jeu, les spectateurs préparent une question qu’ils vont poser à l’Oracle dans une pièce plongée dans l’obscurité ou une boite noire. Comme par magie, l’Oracle apparaît et disparaît dans la lumière, dans un ballet de volte-faces et d’humeurs. Lydia Boukhirane livre et délivre des messages dansés cryptés qui annoncent, préviennent, protègent.  Libre aux spectateurs d’interpréter la réponse de l’Oracle entre le réel ou le fantasque.

L’oracle c’est la figure symbolique de la pythie de Delphes...

'L’une des divinité les plus adulées, à l’époque grecque. Elle avait la capacité divinatoire de prédire. Mais sa prédiction ne disait rien et ne cachait rien, elle signifiait l’avenir : il fallait donc l’interpréter. Pourquoi la pythie fut-elle adulée ? Tout simplement parce qu’elle exprimait à la fois l’inconnu de l’avenir qu’elle semblait dévoiler, mais aussi son mystère...'
 

Laurent Schmitt – Extrait de 'Le secret'
 

GARGOUILLES
Par et avec Marie Doiret - interprète
Mis en scène et adapté par Nadine Beaulieu

Lumière : Eric Guilbaud 

Durée 5 minutes

Avec ce court solo, Marie Doiret se saisit de la démarche de Nadine Beaulieu, démarche qu’elle côtoie et travaille à ses côtés depuis 20 ans.

En regard de VOLTE-FACES ou le Cabinet des Humeurs, elle imagine un parcours déployant les multiples facettes de ce que peuvent être le monstre, la gargouille. Ce solo de cinq minutes, chorégraphié sur une musique de Vivaldi, le Nisi Dominus, crée, pour reprendre les termes de Marie, « un choeur étrange et doux de figures un peu monstrueuses, beaucoup attachantes et absolument drôles et troublantes.'

 

Gargouilles est une sculpture en mouvement où seul le visage de Marie se déforme, se transforme pour atteindre, dans son apothéose, l’extase ou la béatitude des statues du Bernin. Ce solo se donne dans des espaces scéniques  très variés et s’inscrit désormais dans la programmation des différents portraits de JARDIN dont il rejoint l’esprit.  

Gargouilles, c’est un cadeau de Marie Doiret, une petite œuvre à accrocher dans mon JARDIN. Un don, un hommage, une pépite.


Nadine Beaulieu

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